

Tandis que les plus riches émettent relativement plus de gaz à effet de serre que les autres, leur égoïsme ne permet pas de financer suffisamment la transition énergétique. Au contraire, certains veulent même se faire de l’argent sur les conséquences négatives du changement climatique en pariant sur l’avenir dans le grand casino mondial.
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26 septembre 2020 – Les inégalités de revenu affectent le niveau d’émission des gaz à effet de serre et la vulnérabilité aux conséquences du changement climatique – Plus on est riche et plus on émet de gaz à effet de serre ; plus on est pauvre et moins on émet de gaz à effet de serre, mais plus on est vulnérable aux conséquences du dérèglement du climat. La stratégie de réduction des émissions doit tenir compte de ces inégalités. [lire]
11 avril 2019 – Jusqu’où la spéculation financière ira-t-elle ? Après les prix, les épidémies… et maintenant ? Mécanisme financier pervers, les «obligations pandémie » pour Ebola de la Banque mondiale ont rapporté, en deux ans, plus de 110 millions de dollars aux spéculateurs, alors que seuls 20 millions étaient dépensés pour lutter contre l’épidémie en RDC. [lire]
Mars 2019 – Opinion : La Banque mondiale financiarise le développement (mars 2019) par Jomo Kwame Sundaram et Anis Chowdhury [lire]
29 juillet 2017 – Financement climatique : pour qui roule la Banque mondiale ? La finance mondiale compte fourbir ses armes pour prendre le contrôle de notre agriculture et notre alimentation, sous prétexte de lutte contre le dérèglement climatique. [lire]
13 décembre 2016 – Financement climat en faveur des pays pauvres : confusion, manque de transparence et probabilité de non respect des engagements pris. Lors de la COP21 de Paris les pays riches se sont engagés à aider à financer les efforts d’adaptation et de réduction des GES dans les pays pauvres grâce à un mécanisme de financement qui devait mobiliser 100 milliards de dollars par an d’ici 2020. Où en est-on un an après ? [lire]